En avril 2002, l’armée israélienne lance l’opération Remparts et réoccupe toute la Cisjordanie. Le camp de réfugiés de Jénine est envahi et son accès totalement interdit aux journalistes et aux organisations humanitaires pendant plusieurs jours.
Mohammad Bakri décide d’entrer malgré tout dans le camp pour interroger les habitant.es. Il veut donner une voix à celles et ceux qui ne peuvent pas parler aux médias. Le film est censuré, Mohammad Bakri fait recours, il est accusé de diffamation par 5 soldats, trois ans plus tard la Cour suprême israélienne annulera l’interdiction de projection du film.
La projection sera suivie d’un échange animé par plusieurs palestinien.nes.